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Céline Le Gal : faire partie de la communauté EY est une carte précieuse

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Être chez EY permet d’intervenir sur n’importe quel secteur d’activité et de traiter des problématiques multiples. C’est un très beau terrain de jeu.

J’ai intégré EY en 2007 en stage au sein des équipes ACR (Account Compliance Reporting). J’ai adoré ce stage en raison de la variété des missions et de la qualité de l’équipe, à taille humaine, très soudée, avec des seniors et des managers très impliqués dans notre formation et notre intégration. J’étais très fière d’avoir rejoint un Big 4. A l’issue de ce stage, je ne me voyais nulle part ailleurs. Tous les stagiaires de l’équipe ont d’ailleurs intégré EY.

J’ai rejoint les équipes audit, en débutant par le séminaire d’intégration à Bénodet qui fut un moment mémorable, même 15 ans après. J’y ai fait de très belles rencontres qui m’ont suivie et aidée tout au long de ma carrière chez EY.

Au cours de mon parcours, j’ai développé une expertise pour les secteurs du retail et de l’immobilier.

Après être passée manager, j’ai intégré les équipes FAAS pour faire du conseil financier avec à la clé des missions plus ambitieuses, plus complexes mais très complémentaires avec celles que je continuais à réaliser en audit. Ce changement m’a permis de monter en compétences et d’apporter encore plus de valeur ajoutée à mes clients audit.

Le rôle d’auditeur a-t-il évolué en 15 ans ?

Oh que oui ! Lors de mes premières missions, nos dossiers de travail étaient principalement composés d’une multitude de classeurs jaunes. Nous ne disposions que d’Excel, et les capacités d’extraction ne permettaient pas de traiter les données de manière exhaustive.  Aujourd’hui, grâce à l’audit digital, l'ensemble des données sont prises en compte pour produire des analyses pertinentes et puissantes, gage de valeur ajoutée pour les clients. Ces techniques rendent le travail des auditeurs plus intéressant.

Que retenez-vous de votre expérience au sein du cabinet ? Qu’est-ce qui vous a le plus marqué chez EY ?

Je suis très fière d’avoir intégré le cabinet. J’y ai connu une ambiance très familiale et soudée, je suis reconnaissante de la confiance et de la bienveillance qui m’ont été apportée.

L’environnement est très stimulant car on bénéficie d’une excellente formation mais aussi d’une prise de responsabilité immédiate. J’ai travaillé pour des clients prestigieux et j’ai été assez rapidement en contact avec des DAF de grands groupes. Chez EY, j’ai acquis une légitimité auprès de mes pairs, mentors et clients très rapidement. 

Ce que je garde en tête, c’est la possibilité de participer à des missions très variées, mais aussi de contribuer à la vie du cabinet à travers des missions internes, du recrutement, de la formation et du parrainage. Tous ces projets ont enrichi mon parcours et rendent, je pense, l’expérience en cabinet encore plus complète. 

Pourquoi avez-vous pris la décision de quitter EY ?

Après 14 ans chez EY, j’avais besoin d’un nouveau challenge et de rejoindre un environnement corporate. Je faisais partie d’un programme qui m’aurait peut-être permis à terme d’envisager un passage au statut d’associée mais je n’en avais pas envie. D’une certaine façon j’ai toujours su que je voulais « passer chez le client ».

Etes-vous toujours en contact avec d’anciens collègues ?

Bien sûr !  L'humain est au centre de tout au cabinet. On vit des moments joyeux, victorieux, mais aussi des moments difficiles, des moments de doutes et de remises en question. Mais la cohésion d’équipe, l’entraide et l’expertise des uns et des autres permettent toujours d’aboutir à des succès. Ces expériences créent beaucoup de liens, et on peut même avoir des coups de cœur professionnels pour certaines collègues ou mentors qui nous poussent à aller plus loin, à être plus ambitieux et meilleurs. C’est un vrai driver.

Faire partie de la communauté EY est une carte précieuse. Certains anciens collègues sont devenus de vrais amis. Il m’arrive très souvent de contacter certaines personnes dans le cadre de mon poste de DAF pour bénéficier de leur expertise.

Vous êtes aujourd’hui CFO de Poiray et d’Aurélie Bidermann, des marques d’horlogerie et de joaillerie. Quelle est votre mission ?

Poiray est une Maison d'horlogerie et de joaillerie, tandis qu’Aurélie Bidermann est une Maison de bijoux fantaisie et de joaillerie. Ces deux Maisons, dont je suis DAF, appartiennent au même actionnaire mais ont une histoire et un A.D.N. bien distincts. Elles sont toutes les deux en forte croissance, et bénéficient d’une très belle dynamique et d’une très belle énergie d’équipes. Mon poste comprend des responsabilités très variées qui nécessitent une forte interaction avec la direction, et qui exige d’être force de propositions sur de nombreux sujets. C’est un poste passionnant. La taille des deux entreprises permet un mode de fonctionnement assez agile et opportuniste.

Cette expérience m’ouvre par ailleurs d’autres portes, car je vais bientôt intégrer le Board d’une marque de prêt-à-porter très prometteuse !

Quelle est votre plus grande fierté ?

Je suis particulièrement fière d’avoir pu passer mon diplôme d’expertise comptable (DEC). Ce fut une belle aventure mais surtout un vrai marathon ! J’ai pu y arriver grâce au soutien d’EY, des associés mais également de mes pairs. C’est une expérience qui créé beaucoup les liens. Je m’y suis même remise car je suis actuellement des cours à HEC Paris avec un professeur emblématique pour obtenir un certificat en finance d’entreprise.

Côté EY, je suis particulièrement fière d’avoir pu participer à des succès importants, comme le mandat de commissariat aux comptes d’un grand groupe de l’agroalimentaire gagné en 2019. Faire partie de l’équipe de compte travaillant sur la proposition commerciale a été très enrichissant. Ce fut une expérience unique très gratifiante !

Avez-vous réussi à trouver un équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie personnelle ?

Trouver son équilibre vie pro-vie perso est très difficile dans un cabinet aussi prestigieux qu'EY en occupant un poste à responsabilité. Il y a bien sur des sacrifices à faire. J’ai eu mes 2 enfants chez EY mais je dois dire que j’avais trouvé une organisation qui me convenait, et qui me permettait de consacrer du temps à mes enfants. J’ai toujours pu aller les chercher le soir, sauf urgence. Quand on est manager, on bénéficie d’un emploi du temps assez flexible qui nous permet de nous organiser comme on le souhaite, dans la mesure du possible. Pour de jeunes parents, c’est un réel avantage.

Quel conseil donneriez-vous aux jeunes auditeurs/auditrices ?

D’être acteur au sein de son parcours chez EY, de saisir les opportunités qui se présentent ou de les provoquer. Être chez EY permet de faire énormément de choses, d’intervenir sur n’importe quel secteur d’activité et de traiter des problématiques multiples. C’est un très beau terrain de jeu. Il faut construire son parcours, créer du lien avec ses collègues, ses mentors, ses clients. Ce réseau, que l’on construit au fur et à mesure de son expérience, est précieux.

Ce qu'il faut retenir

Céline, aujourd’hui CFO des Maisons Poiray et Aurélie Bidermann partage son expérience chez EY de stagiaire à Senior Manager. Elle insiste sur l’importance du réseau et la nécessité d’être acteur de son parcours que ce soit dans le choix des missions mais aussi des projets internes qui sont menés.

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