Pourquoi EY s’engage dans la lutte contre les violences faites aux femmes

La cause des femmes victimes de violences physiques ou morales est une priorité absolue et nul autre sujet ne mérite davantage de voir les comportements évoluer urgemment. Découvrez la tribune d’Eric Fourel, président d’EY en France, sur les violences faites aux femmes.

Depuis toujours EY a placé le respect au premier rang de ses valeurs. Le respect de l’autre, de son opinion, de son expression corporelle, de sa contribution personnelle, sont des conditions essentielles pour démultiplier la richesse de nos compétences et faire vivre la raison d’être d’EY : construire un monde professionnel plus juste et plus performant.

La violence faite aux femmes est une entrave insupportable à leur possibilité d’être. Elle nous prive aussi de leur capacité à exprimer librement la valeur qu’elles portent. Elle reflète l’une des formes les plus primaires de l’esprit de domination et, ainsi qu’il en est aussi de toute forme de discrimination, elle tend à nier la pluralité de l’humanité et nous renvoie à ses ténèbres.

Chez EY, la qualité de nos services dépend de la créativité que chacune et chacun peut exprimer dans son univers professionnel et l’oppression sous toutes ses formes est bien souvent mortifère pour la créativité. 

Voilà pourquoi la violence faite aux femmes est contraire à tout ce qu’EY entend promouvoir dans chacune de ses actions professionnelles et sociétales.

En rejoignant l’action mise en œuvre pour cette grande cause sous l’égide de la Fondation Make.org, EY a aussi répondu à une quête de sens que ses collaborateurs voulaient saisir. Ce sont plus d’une vingtaine de collaborateurs qui ont consacré une part significative de leur temps à accompagner trois des projets lancés à partir d’une consultation citoyenne de plus de 400 000 citoyens : Chouette / pas chouette, Memo de vie et Abri d’urgence. Nous avons assuré la coordination de ces projets et résolu les questions juridiques touchant à la protection des données personnelles. Merci en particulier à Dorothée Belle et Sabrina Lebel qui ont été nos fers de lance dans le cadre de ce grand mécénat de compétences engagé par EY.

La contribution d’EY n’est qu’une goutte d’eau dans l’immensité des moyens qu’il faut mobiliser pour cette grande cause mais nous sommes fiers de l’avoir apportée aux côtés de tous les autres partenaires qui se sont mobilisés.

De manière un peu nouvelle, les entreprises se saisissent de ces enjeux car elles ont pris conscience que leur impact ne doit pas se limiter à la sphère économique. Grâce à la résonance que peuvent créer nos collaborateurs, grâce à toutes les parties prenantes qui nous côtoient, les entreprises peuvent aussi se donner l’ambition d’influencer les comportements pour le bien commun.

La cause des femmes victimes de violences physiques ou morales est une priorité absolue et nul autre sujet ne mérite davantage de voir les comportements évoluer urgemment. Portons cette parole bien au-delà des cadres habituels de son expression.