Andrea Guerzoni est le vice‑président mondial d’EY, Stratégie et transactions. Avant d’occuper ce poste, il a dirigé la gamme des Services consultatifs pour l’Europe, le Moyen‑Orient, l’Inde et l’Afrique (EMOIA) à compter de 2014, menant des milliers de professionnels en transaction répartis sur trois continents et dans 99 pays.
Andrea a fait ses débuts chez EY à titre d’auditeur à Milan en 1995, avant d’obtenir un détachement à Londres où il s’est joint au groupe Conseil en financement. Après son retour à Milan en 2000 au sein du groupe Transactions, il est devenu en 2004 le leader mondial du groupe Soutien à la transaction et a subséquemment été nommé leader du groupe Transactions pour la zone Méditerranée en 2012.
Lui‑même conseiller d’affaires et professionnel en transactions, Andrea a conseillé des conseils d’administration et des sociétés de capital‑investissement partout dans le monde dans un vaste éventail de situations transactionnelles et transformationnelles, notamment des fusions et acquisitions, des intégrations post‑transactionnelles, des examens stratégiques de portefeuille, des premiers appels publics à l’épargne, et des processus de réorganisation et de restructuration.
Andrea est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires et finances de l’Université de Modène. Il détient le titre d’auditeur inscrit depuis 1999 et est associé chez EY depuis 2005.
Comment Andrea nous aide à travailler ensemble pour un monde meilleur
« Notre travail auprès des clients nous amène à concevoir des stratégies pour ouvrir les possibilités qu’offre l’ère du numérique. Une part importante de ce travail consiste à supprimer les barrières qui pourraient nuire à la capacité de tirer avantage de ces possibilités. Bon nombre de ces barrières sont créées par une mentalité fixe. Toutefois, la majeure partie de ce qui constituera un succès futur sera imaginée par des penseurs agiles, c’est‑à‑dire ceux qui réagissent à l’évolution des besoins des clients, adoptent des philosophies de placement conjuguant continuité et changement, et bâtissent des modèles opérationnels qui servent aussi d’outils technologiques. »
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