EY désigne l’organisation mondiale des sociétés membres d’Ernst & Young Global Limited, et peut désigner une ou plusieurs de ces sociétés membres, lesquelles sont toutes des entités juridiques distinctes. Ernst & Young Global Limited, société à responsabilité limitée par garanties du Royaume‑Uni, ne fournit aucun service aux clients.
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Pourquoi les entreprises à capital fermé concurrentielles transforment leur fonction fiscalité
Pour les entreprises à capital fermé qui transforment leur fonction fiscalité à une époque d’instabilité mondiale, le recours au cosourçage peut faire partie intégrante de la solution. Pour en savoir plus.
Un éventail plus large d’entreprises procède également à des transformations et à des opérations de cosourçage
La tendance à transformer les fonctions fiscalité et finance ainsi que la popularité croissante du cosourçage comme solution ont d’abord émergé au sein des plus grandes entreprises mondiales, en particulier celles dont le chiffre d’affaires dépasse les 20 milliards de dollars américains.
Notre plus récent sondage révèle une nette augmentation des mesures prises par les entreprises dont les revenus sont plus modestes; le cosourçage gagne également en popularité auprès de ces entreprises. Par exemple, la proportion d’entreprises dont les revenus dépassent 20 milliards de dollars américains et pour lesquelles il est plus probable qu’improbable qu’elles auront recours au cosourçage est demeurée importante, soit 95 % en 2023. Parmi les entreprises dont les revenus sont inférieurs à 20 milliards de dollars américains, cette proportion est de 94 % cette année, contre 79 % en 2022.
« Le cosourçage suscite un intérêt incroyable dans l’ensemble des entreprises, affirme Ryan Burke, leader mondial, EY Privé. De nombreuses entreprises ayant constaté les avantages dont ont bénéficié celles qui ont opté les premières pour cette solution ont décidé d’amorcer leur propre transformation. »
Les entreprises à capital fermé se transforment également, bien que leurs motivations diffèrent quelque peu de celles de leurs homologues cotées en bourse. D’autre part, les sondages ont révélé que les entreprises à capital fermé considèrent que la modernisation des fonctions fiscalité et finance constitue un avantage concurrentiel. Leur conseil d’administration et leurs hauts dirigeants sont encore plus susceptibles de considérer la fonction fiscalité comme un partenaire stratégique pour l’entreprise.
C’est le cas de l’entreprise familiale Boehringer Ingelheim qui a récemment entrepris une transformation majeure de sa fonction fiscalité. Cette décision s’inscrivait dans une tradition bien établie de faire preuve d’ingéniosité et d’adopter une mentalité de pionnier. L’entreprise s’est attachée à élaborer un modèle opérationnel de la fonction fiscalité innovant qui tient compte de divers aspects, tant à l’échelle locale qu’à l’échelle mondiale, et des leçons du passé, des pratiques actuelles et des tendances futures.
« Nous voulions agir rapidement et remettre en question nos pratiques courantes en matière d’observation fiscale. Notre objectif était clair : améliorer la qualité, accroître l’efficacité et tirer parti de nouvelles approches d’approvisionnement et des nouvelles technologies afin d’assurer l’observation fiscale à l’échelle mondiale, explique Malte Fidler, chef mondial, Fiscalité et gouvernance commerciale, Boehringer Ingelheim. Nous avons bon espoir que notre fournisseur de services sera en mesure d’offrir la meilleure qualité et d’assurer le bon fonctionnement du système au quotidien. Finalement, ce qui importe, c’est d’interagir avec confiance et de résoudre ensemble des problèmes complexes et urgents. »