Cameron Macdonald est vice-président, groupe Stratégie et transactions – Immobilier, chez EY. Il conseille les propriétaires, les promoteurs et les investisseurs des secteurs public et privé en matière de stratégie de portefeuille, d’affectation des capitaux, de structuration des transactions et de création de valeur découlant du développement de projets. Ses travaux portent sur la monétisation des terrains excédentaires, les projets d’aménagement axés sur le transport urbain et les projets immobiliers à vocation mixte, les logements pour étudiants et les logements locatifs, ainsi que les actifs industriels et logistiques. Cameron a dirigé des mandats de vente d’actifs et de structuration de coentreprises, de conception de programmes, d’entrée sur le marché et d’établissement des prix des avantages pour le public dans le cadre de négociations complexes.
Détenteur des titres d’urbaniste professionnel certifié et d’économiste foncier professionnel, il possède un baccalauréat en études urbaines de l’Université de Toronto et un baccalauréat en planification urbaine et régionale de la Toronto Metropolitan University.
Comment Cameron façonne l’avenir en toute confiance
J’aide les clients à prendre de meilleures décisions immobilières en appliquant la rigueur du monde des placements aux mandats publics, et la discipline des projets du secteur public aux placements privés. Concrètement, cela se traduit par l’élaboration d’outils d’affectation des capitaux pour les municipalités, la structuration de partenariats sous la forme de coentreprises et de contrats de location de terrains qui harmonisent les incitatifs, la conception de tests d’optimisation des ressources dans le cadre de projets de logements abordables et de résidences pour étudiants, et la soumission de stratégies d’entrée sur le marché ou d’acquisition de sites à des tests rigoureux reproduisant des conditions économiques difficiles. Je me concentre sur les décisions qui font passer les projets de la présentation à l’élaboration : où déployer les capitaux, comment partager les risques et quelles conditions prévoir pour assurer la viabilité. Le résultat que je vise est simple : des projets qui se concrétisent, des partenaires qui restent sur la même longueur d’onde et des collectivités qui en tirent des avantages.
