EY désigne l’organisation mondiale des sociétés membres d’Ernst & Young Global Limited, et peut désigner une ou plusieurs de ces sociétés membres, lesquelles sont toutes des entités juridiques distinctes. Ernst & Young Global Limited, société à responsabilité limitée par garanties du Royaume‑Uni, ne fournit aucun service aux clients.
Comment EY peut vous aider
Lorsqu’une entreprise entreprend de moderniser son infrastructure technologique, elle doit harmoniser son infrastructure existante avec la mission organisationnelle, et ses activités, avec celles de l’équipe des TI. Il faut que les équipes et les leaders à l’échelle de l’entreprise engagent un dialogue afin de veiller à comprendre les technologies qui sont en place, et à être au courant de celles qui ne fonctionnent pas et de celles qui sont requises pour renforcer l’organisation.
Dans certains cas, le chef de l’information prend des décisions qui, à son avis, sont les meilleures pour l’écosystème. Mais ces décisions, si elles ne sont pas éclairées, ne répondront, dans le meilleur des cas, qu’en partie aux besoins de l’entreprise. Selon le scénario le plus probable, davantage de pressions seront exercées pour que l’entreprise aille de l’avant en s’appuyant sur ses acquis, de sorte qu’elle se retrouvera dans un cul‑de‑sac. Des ressources continuent d’être affectées à une solution qui pourrait ne pas être la meilleure pour l’organisation, et il est de plus en plus difficile pour cette dernière de réaliser son plein potentiel.
Pour éviter que cela se produise, les organisations doivent prendre le temps de poser plus de questions. Il importe de demander aux gens ce qu’ils aiment et ce qu’ils n’aiment pas dans le cadre d’une évaluation des technologies et de parler aux personnes qui utilisent les systèmes. Demandez‑leur quel est l’aspect de leur travail qu’ils aiment le moins. Il ne s’agit pas de les forcer à parler de ce qu’ils n’aiment pas. Il s’agit plutôt de comprendre ce qui ne fonctionne pas au sein de l’organisation et d’entamer le processus de recherche de solutions. L’expérience utilisateur est très révélatrice. Dans la plupart des cas, il n’est pas si difficile de faire parler les gens au sujet de ce qu’ils n’aiment pas.
L’étape suivante consiste à en apprendre davantage sur les tâches préférées des employés ou sur celles qu’ils préféreraient accomplir s’ils en avaient le loisir. Pour ce faire, il faut offrir une tribune ouverte dans le cadre de laquelle toutes les propositions, ou presque, seront prises en compte. L’objectif est de prendre connaissance de leurs idées et de déterminer si elles sont réalisables. Certaines idées ne le sont pas, mais en permettant aux employés de réfléchir et de faire ouvertement et librement des suggestions, il est possible de les convaincre qu’en ayant recours à des services‑conseils en TI, l’entreprise ne vise pas à les remplacer et à supprimer leur emploi. Elle cherche plutôt à leur permettre d’accomplir des tâches plus satisfaisantes et agréables et, ultimement, plus utiles pour l’organisation.
Il n’est pas essentiel que la modernisation des technologies soit très coûteuse ni qu’elle soit réalisée d’un seul coup. Plutôt que d’opérer une transformation complète, les organisations peuvent y aller petit à petit et apporter progressivement des changements. Les entreprises doivent concevoir les plateformes en ayant à l’esprit leur finalité, et en se gardant une marge de manœuvre pour pouvoir apporter des changements en cours de route, à mesure qu’elles acquièrent des connaissances.
En fin de compte, il ne faut pas changer de technologies dans le seul but d’en implanter de nouvelles. Il importe de prendre le temps de mieux comprendre la façon dont les divers outils numériques peuvent aider l’organisation à dégager de meilleurs résultats et à mener à bien sa mission. Par exemple, l’IA générative évolue de façon exponentielle et les entreprises dans chaque secteur s’efforcent de comprendre comment elle peut être intégrée à leur modèle d’affaires. Il est plus important pour elles de comprendre comment l’IA générative peut les aider à atteindre des objectifs clés que de déterminer la rapidité avec laquelle elles peuvent l’adopter.
La première étape consiste à prendre le temps de parler aux employés à tous les échelons de l’organisation, pour avoir une perspective globale de ce qui fonctionne et de ce qui ne fonctionne pas, et de ce qui compte le plus pour les gens au sein de l’organisation. Il faut élaborer une stratégie qui garde l’humain au centre et qui a pour objectif de valoriser les compétences. Lorsqu’il y a harmonisation entre les compétences et la technologie, il est plus facile de mettre en place d’autres aspects du modèle opérationnel.