Communiqué

5 avr. 2018 Toronto, CA

Quatre-vingt-quatre pour cent des dirigeants canadiens prévoient procéder à un désinvestissement au cours des 12 prochains mois

Selon l’étude Global Corporate Divestment Study 2018 d’EY, 84 % des dirigeants canadiens prévoient procéder à un désinvestissement au cours des 12 prochains mois, soit plus de dix points de pourcentage que la moyenne mondiale (72 %).

Les entreprises tirent parti des avancées numériques pour créer de la valeur en contexte transactionnel ou non.

Selon l’étude Global Corporate Divestment Study 2018 d’EY, 84 % des dirigeants canadiens prévoient procéder à un désinvestissement au cours des 12 prochains mois, soit plus de dix points de pourcentage que la moyenne mondiale (72 %).

«Les entreprises canadiennes se tournent plus que jamais vers le désinvestissement pour obtenir un avantage concurrentiel, affirme Fany Boucher, associée, Soutien à la transaction chez EY. Elles ont mené plus fréquemment des examens de portefeuilles, car elles ont la volonté de se départir d’actifs non productifs et de tirer parti des stratégies numériques. Il est encourageant de voir que ces examens commencent à porter leurs fruits.»

Les résultats de l’étude indiquent que la technologie est un thème de plus en plus présent en contexte transactionnel ou non. La majorité (92 %) des répondants sondés au Canada indiquent que les changements technologiques sont le facteur qui exerce la plus grande influence sur leurs projets de désinvestissement, ce qui représente une hausse de 20 % par rapport à 2017.

Cette situation se traduit par une hausse du nombre d’entreprises canadiennes qui envisagent de procéder à des désinvestissements pour réunir des capitaux et financer des stratégies de croissance numérique. En fait, près de la moitié (41 %) des dirigeants canadiens indiquent que la nécessité de financer de l’investissement dans de nouvelles technologies a entraîné récemment un désinvestissement majeur, le produit a été réinvesti dans l’entreprise, la priorité absolue étant l’amélioration de l’efficacité opérationnelle.

La technologie joue également un rôle dans le processus transactionnel lui-même. Selon l’étude, les entreprises tirent parti de l’analyse des données pour prendre des décisions plus éclairées sur les stratégies de croissance et pour créer de la valeur dans le cadre du processus de désinvestissement. Près de la moitié (43 %) des répondants indiquent que l’analytique a créé de la valeur ajoutée permettant de comprendre la véritable valeur des activités non essentielles et de déterminer s’il convenait de s’en départir.

«Il ressort clairement de l’étude que la technologie est à la fois un facteur de désinvestissement et un moyen optimal pour stimuler la transformation numérique des entreprises, affirme Fany Boucher. Ces dernières doivent toutefois garder à l’esprit qu’il est essentiel de bien se préparer pour maximiser la valeur. Pour créer la plus grande valeur dans le cadre d’un processus transactionnel, vous devez prendre le temps de comprendre l’incidence de la technologie sur votre entreprise, intégrer l’analytique à vos processus décisionnels et élaborer des documents de contrôle préalable efficaces.»

Consulter l’intégralité du rapport en ligne.

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